Qui es-tu ?
Je m’appelle Mathew Boncoeur et je travaille en tant que Modérateur. Cela fait plus de 3 ans que je fais partie de la société. Je suis le genre de personne qui sait faire la différence entre les relations privées et professionnelles. La raison principale de mon succès est que j’ai appris de mon meilleur prof, c’est-à-dire de mes erreurs. Comme le dit Nelson Mandela, « Je ne perds jamais, soit je gagne ou j’apprends ». Ma plus grande passion c’est le rugby et je passe également mon temps libre à écrire des textes. Mon ambition sur le plan professionnel est de gravir les échelons afin de contribuer au succès de la compagnie tout en restant discret, persévérant et franc.
Raconte-nous ton parcours à SEDECO
J’ai commencé à Sedeco comme animateur, mais sans aucune expérience. J’ai occupé ce poste pendant 2 ans et depuis quelques mois, je suis modérateur. Avec l’aide de mes responsables, qui ont été vraiment patients et attentifs, j’ai su trouver mes repères ainsi qu’une bonne cohésion dans ce que je fais. Cela n’a pas toujours été au top pour moi, mais ils m’ont fait confiance et m’ont soutenu à chaque fois. Comme je le dis souvent, je reprends du poil de la bête. Il y a des personnes qui sont devenues plus que des collègues, qui m’ont encouragé et donné des conseils qui m’ont aidé à devenir la personne que je suis aujourd’hui. Elles se reconnaitront !
Mathew Boncoeur : l’employé du mois d’août
Employé du mois : tes sentiments ?
Mon métier demande beaucoup d’attention et une bonne culture générale. L’adaptation s’est bien passée grâce à une équipe formidable. Je suis satisfait de voir que mes efforts ne sont pas passés inaperçus. Merci à Sandrine pour la reconnaissance exprimée à mon égard.
Encouragerais-tu d’autres personnes à rejoindre ton équipe ?
Oui, j’invite tous ceux et celles qui souhaitent intégrer notre équipe à le faire sans plus tarder, car au sein de Sedeco on retrouve une bonne ambiance de travail, nous avons des horaires flexibles et la société donne la chance à tout le monde.
Une citation que tu affectionnes ?
J’en ai deux de Nelson Mandela : Le première est : En faisant scintiller notre lumière, nous offrons aux autres la possibilité d’en faire autant.
La deuxième : J’ai appris que le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de la vaincre.